Le directeur général d'Al Jazeera Media Network, Mostefa Souag, a appelé à « la libération immédiate » des trois journalistes, ajoutant que les ravisseurs « étaient tenus responsables de la sécurité » de leurs collègues.
La ville de Taëz, située au sud-est du Yémen, contrôlée par des forces progouvernementales, est encerclée depuis des mois par des rebelles chiites Houthis, qui contrôlent depuis plus d'un an de la capitale Sanaa ainsi que de nombreuses régions du pays.
Selon un récent rapport de Reporters sans frontières (RSF), au moins cinq journalistes ont trouvé la mort au Yémen l'an dernier.