Signé le 2 mai, l‘accord fait suite à une plainte déposée il y a deux ans, en plein scandale sur les accusations de corruption visant l’octroi du Mondial 2022. Dans le fond, il est prévu la prochaine mise en place d'un organe de contrôle au Qatar qui veillera à ce que les droits fondamentaux des ouvriers, particulièrement ceux travaillant dans les chantiers de la Coupe du monde, soient respectés. De même, la procédure de traitement des plaintes des ouvriers devra être rapidement améliorée pour aboutir à un meilleur respect des mesures prises ces derniers temps par les autorités pour assurer la protection sociale des travailleurs.
L'accord prévoit aussi que chaque partie présente dans un délai de six mois un rapport sur les progrès effectués. Elles se retrouveront dans un délai de neuf mois pour faire une mise au point et assurer le suivi du dispositif nouvellement introduit.