emirsissiDans le cadre du procès de l’ancien président Mohamed Morsi pour "intelligence avec le Qatar",  la justice égyptienne a condamné six personnes à la peine capitale samedi 7 mai. Parmi les co-accusés se trouvent trois journalistes dont deux d’Al Jazeera. Il s’agit "d’une condamnation sans précédent à l’encontre de journalistes" a déclaré la chaine qatarie.

Les trois journalistes ont été jugés par contumace et ont été accusés d’avoir servi d’intermédiaires dans le cadre de l’affaire pour "intelligence avec le Qatar" et d’avoir "livrés des documents confidentiels relevant de la sécurité nationale" aux autorités de Doha. La tenue de ce procès a été ajournée une quinzaine de fois depuis septembre 2014.

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journalistesespaTrois journalistes espagnols enlevés en Syrie sont arrivés, dimanche 8 mai, à Madrid après avoir passé dix mois aux mains du front al-Nosra, la branche syrienne d'al-Qaïda. Cette libération a été rendue possible grâce à la médiation du Qatar et de la Turquie.

Trois journalistes espagnols freelance, José Manuel Lopez, Angel Sastre et Antonio Pampliegaqui avaient été enlevés à Alep dans le nord de la Syrie, sont arrivés dimanche sur une base militaire proche de Madrid après avoir passé dix mois aux mains du front al-Nosra.

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Al JazeeraLa chaîne d’information continue en langue arabe Al Jazeera a annoncé jeudi que son équipe de journalistes au Yémen était portée disparue et avait probablement été enlevée par des « inconnus ».

La chaîne qatarie a précisé avoir perdu tout contact depuis lundi soir de son équipe de correspondants et cameramans. Hamdi al-Bokari, Abdulaziz al-Sabri et Moneer al-Sabai qui couvraient à Taëz, la troisième grande ville du Yémen, les combats entre forces loyalistes et rebelles, ont été enlevés par des inconnus. 

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ahmedmansourLe célèbre journaliste égyptien d’Al Jazeera, Ahmed Mansour, a été arrêté aujourd’hui, 20 juin 2015, à l’aéroport de Berlin, alors qu'il s'apprêtait à rentrer au Qatar. Son arrestation fait suite à un mandat d’arrêt émis par les autorités égyptiennes.

C'est une information qui a provoqué de forts remous sur internet. Ahmed Mansour, l'un des journalistes les plus en vue de la chaîne Al Jazeera en langue arabe a été arrêté samedi 20 juin à Berlin suite à une notice d'Interpol transmise par les autorités égyptiennes. Un porte-parole de la police allemande, joint par l'AFP, a en effet confirmé qu'un homme de 52 ans avait été interpellé à 13h20 GMT, à l'aéroport de Berlin en vertu d'un mandat d'arrêt international émis par l’Egypte. Dès son arrestation, le journaliste avait évoqué sa mésaventure sur sa page Facebook. L'information a immédiatement été relayée sur la chaine Al Jazeera.

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journalistesJSCLa chaîne Al Jazeera réitère ses appels aux autorités nigérianes pour qu'elles libèrent deux de ses journalistes détenus par les forces gouvernementales depuis une semaine.

Ahmed Idris et Ali Mustafa ont été arrêtés le 24 mars dernier alors qu'ils se préparaient à couvrir les combats opposants les forces nigérianes à Boko Haram. L'armée nigériane retient les journalistes dans la ville de Maiduguri, dans le nord-est du pays. Selon Al Jazeera, Ahmed Idris et Ali Moustafa, sont retenus dans leur chambre d'hôtel jusqu'à nouvel ordre et leur matériel a été confisqué.

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Jeudi 12 février, un tribunal pénal égyptien a ordonné, lors d'un nouveau procès, la libération des deux journalistes d'Al Jazeera emprisonnés depuis 411 jours. La remise en liberté de l'un des deux prévenus, le Canadien Mohamed Fahmy a été obtenue en échange d'une caution de 29 000 euros. Ils devront néanmoins comparaître devant le tribunal le 23 février. 

Un tribunal pénal égyptien chargé de rejuger les deux journalistes d'Al Jazeera English emprisonnés depuis 411 jours, a ordonné leur remise en liberté dans une affaire qui avait déclenché un tollé international. Ils avaient été condamnés, le 23 juin 2014, lors d’une parodie de procès à des peines de 7 à 10 ans de prison ferme pour « soutien au terrorisme », « diffusion de fausses informations », et « atteinte à la sécurité nationale ». La Cour de cassation avait annulé ces condamnations en janvier dernier et ordonné un nouveau procès, en précisant que la procédure initiale était marquée par des violations des droits de la défense. Une affaire qui avait sérieusement mis les autorités égyptiennes dans l'embarras.

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