Dans la liste globale, l’émirat arrive à la 28e place qui évalue l’état de la lutte contre la corruption dans 175 pays dans le monde.
A cela, il faut ajouter un élément factuel corroborant le fait que le Qatar est engagé dans l’amélioration du contrôle en amont des transactions financières « douteuses ». Le Basel Institute sur la gouvernance a, en 2015, publié un rapport où il mentionne que le Qatar a fourni des efforts en matière de lutte contre le blanchiment d'argent, de transparence du système financier ainsi que sur la détection des transactions suspectes. Le pays est d’ailleurs classé 114e (sur 152 pays) devant d’autres Etats comme l’Australie (113e) - la France occupe quant à elle la 124e place. Le Qatar ainsi que la majorité des pays occidentaux (dont les Etats-Unis) ont obtenu un « risque moyen » de classification.