L’organisme chargé d’organiser la compétition sportive la plus suivie au monde a fait de la pratique du sport pour les réfugiés l’un des axes centraux de sa stratégie globale. Aux Jeux de Rio en 2014, il avait permis la participation d’une équipe d’une dizaine d’athlètes réfugiés. Pour poursuivre sur cette lancée, le CIO “discute d’une potentielle équipe de réfugiés aux JO de Tokyo-2020”.
Dans le même temps, l’organisme travaille à “renforcer les efforts menés avec les Nations Unies, notamment avec le HCR (Haut commissariat aux réfugiés) dans des camps de réfugiés partout dans le monde”. Comme le nombre de réfugiés victimes de guerres, de cataclysmes naturels ou subissant les dégâts du réchauffement climatique augmente, les besoins en infrastructures sportives pour ces populations croît également. L’enveloppe du Qatar qui s’ajoute à celle d’autres pays riches comme le Liechtenstein devrait permettre d’améliorer la situation.