Le Hezbollah classé « terroriste » par le Conseil de Coopération du Golfe
Les six monarchies du Conseil de coopération des Etats arabes du Golfe (CCG) ont qualifié, mercredi 2 mars, le mouvement chiite libanais Hezbollah fondé en 1982 d'"organisation terroriste".
La confrontation est entière entre les pays du Golfe et le Hezbollah. La pression continue aussi de s'accentuer sur le Liban après l'annonce la semaine dernière du gèle par l'Arabie saoudite de son aide de quatre milliards de dollars aux forces armées du pays. Ce blocage avait pour objectif de sanctionner la position en retrait du Liban lors du dernier conseil de la Ligue arabe qui avait condamné à l'unanimité les attaques contre les représentations diplomatiques de l'Arabie saoudite en Iran.
Le Hezbollah classé « terroriste » par le Conseil de Coopération du Golfe
Les six monarchies du Conseil de coopération des Etats arabes du Golfe (CCG) ont qualifié, mercredi 2 mars, le mouvement chiite libanais Hezbollah fondé en 1982 d'"organisation terroriste".
La confrontation est entière entre les pays du Golfe et le Hezbollah. La pression continue aussi de s'accentuer sur le Liban après l'annonce la semaine dernière du gèle par l'Arabie saoudite de son aide de quatre milliards de dollars aux forces armées du pays. Ce blocage avait pour objectif de sanctionner la position en retrait du Liban lors du dernier conseil de la Ligue arabe qui avait condamné à l'unanimité les attaques contre les représentations diplomatiques de l'Arabie saoudite en Iran.
Le Qatar appelle ses ressortissants à quitter le Liban
Le Qatar a appelé mercredi 24 février ses ressortissants à quitter le Liban et de ne s’y rendre qu’en cas d’extrême urgence. Ce geste rejoint le mouvement lancé la veille par l'Arabie saoudite en réaction aux positions du Hezbollah jugées hostiles à son égard, notamment sur le conflit syrien et yéménite.
L'Arabie saoudite a annoncé vendredi 19 février avoir interrompu son aide de trois milliards de dollars à l'armée libanaise et suspendu le reste d'un financement d'un milliard destiné aux forces de sécurité du pays. Ce plan prévoyait la livraison d’armement en provenance de la France dont une partie a été livrée. La seconde livraison était prévue au printemps 2016 mais elle n'aura finalement pas lieu.