Flag Pins United Arab Emirates IsraelIsraël va ouvrir une représentation au siège de l'Agence internationale de l'énergie renouvelable (Irena) situé à Abou Dhabi et envoyer pour la première fois un diplomate dans le pays.

Cette information a été révélée par Haaretz vendredi 27 novembre et elle a largement été relayée par les médias du pays. D’après le quotidien de gauche, une mission diplomatique sera inaugurée dans la capitale des Emirats arabes unis dans les prochaines semaines.

hazizaDans son édition du mercredi 25 novembre, Le Canard Enchaîné a publié un article en page 4 me concernant. Cet article comporte plusieurs erreurs factuelles ainsi que de lourds sous-entendus destinés à décrédibiliser ma personne. Intitulé « Un zélé propagandiste », le papier est non-signé. 

Monsieur le directeur du Canard, j’aimerais d’emblée savoir s’il est normal qu’un article dans lequel je suis nommément cité puisse être non-signé ? Votre journal s’inscrit dans une tradition sarcastique et c’est très bien. Mais est-ce que cela justifie à ce point une entorse à la déontologie ?

erdoğandavutLes élections législatives turques qui se sont déroulées dimanche 1er novembre 2015 ont tourné au triomphe pour le parti AKP. La formation du Président Recep Tayyip Erdogan est arrivée en tête des suffrages en raflant la moitié des voix. Elle obtient également la majorité au Parlement avec 316 sièges sur 550.

C'est d'ailleurs le score le plus élevé jamais obtenu par le parti musulman-démocrate. Alors que les sondages prédisaient une élection serrée, l'AKP a rallié plus de 23 millions de bulletins lors d'un scrutin qui a été le théâtre d'une participation record puisque 87% des électeurs se sont déplacés. C'est donc un succès populaire indéniable et une confirmation de la large assise dont le président Recep Tayyip Erdogan et son Premier ministre Ahmet Davutoglu sont crédités auprès de la population. Rarement dans l’histoire des démocraties, un parti a pu régner avec autant d'assurance sur la scène politique nationale comme le fait l'AKP depuis 13 ans en Turquie.

guerreemiratqatarDepuis les révoltes arabes amorcées à la fin de l’année 2010, une campagne de diabolisation du Qatar est née au niveau international. Son but est de noircir l’image du pays qui a progressivement été dépeint dans le monde francophone comme un émirat rétrograde à la politique douteuse envers les mouvements extrémistes. Cette perception négative semble aussi être partagée dans le monde anglo-saxon. Loin d’être anodine, cette entreprise de dénigrement est en grande partie le résultat d’un lobbying intense de certains États, au premier rang desquels on trouve les Emirats Arabes Unis et Israël. C’est ce que révèle une minutieuse enquête du quotidien britannique The Dailymail qui fait état d’une campagne financée à coups de millions de dollars par le gouvernement émirati.

Depuis quelques années, pas un jour ne passe sans que ne sorte un dossier de presse, une émission ou un reportage sur le Qatar et ses zones d’ombre : soutien présumé aux groupes djihadistes, fonds pour les banlieues, rachat du PSG, corruption pour l’obtention du Mondial 2022, etc. Ce micro-État dérange, inquiète et interroge. Une partie des critiques lancées à son endroit est naturellement légitime (conditions de travail des ouvriers, libertés publiques en souffrance, etc) et il n’est évidemment pas question de les éluder. Mais une autre partie des griefs, parfois se drapant dans des considérations humanistes, sont le reflet d’agendas cachés ou d’intentions peu avouables. Cet article veut donc s’attacher à démêler le vrai du faux sur un sujet qui semble, pour beaucoup, marqué par une certaine opacité. 

accordmilitaire

A l’occasion de la visite du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian à Doha, un accord de coopération militaire a été signé entre la France et le Qatar.

Déjà active dans le domaine de l’équipement militaire, la France confirme sa présence dans l’émirat et consolide sa collaboration avec Doha. Signe de la bonne santé des relations bilatérales, ces derniers mois ont été rythmés par plusieurs visites officielles de haut rang.

etamimerdoganaqsaL’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad al-Thani s’est rendu vendredi à Istanbul où il a rencontré le président turc, Recep Tayyip Erdogan. Une rencontre au cours de laquelle les deux chefs d’Etat ont discuté des dossiers régionaux.  

Les deux dirigeants ont insisté sur « la nécessité d’une action internationale » contre les agressions de la police israélienne sur l’Esplanade des Mosquées à Jérusalem, en particulier la Mosquée al-Aqsa considérée par les musulmans comme le troisième lieu saint de l’Islam après La Mecque et Médine.  

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