La fin de la kafala au Qatar : une amélioration qui en appelle d'autres.
Le Mondial 2022 au Qatar : un sujet explosif ... et rentable
La polémique sur le calendrier de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar a rebondi suite aux déclarations du secrétaire générale de la FIFA. Sujet de controverse récurrent, le Mondial 2022 n’en finit plus de faire couler beaucoup d’encre.
La nouvelle a surpris car on ne s’attendait pas à voir un éminent membre de la FIFA prendre une position si frontalement. Dans un entretien à Radio France réalisé mercredi 8 janvier, Jerôme Valcke, secrétaire général de la FIFA, a confié que la Coupe du monde 2022 qui aura lieu au Qatar ne se déroulera « pas en juin-juillet » comme c’est traditionnellement le cas. La date retenue devrait osciller « entre le 15 novembre et le 15 janvier au plus tard ». Cette déclaration n’a pas manqué de susciter beaucoup de réactions d’autant que la question du calendrier n’est pas le seul grief reproché au Qatar pour l’organisation du tournoi.
Pourquoi Cristiano Ronaldo devrait (normalement) rejoindre le PSG
Le match opposant mardi 3 novembre le Paris Saint-Germain au Real Madrid a tenu en haleine toute la planète football. Cette affiche de la phase de poule de la Ligue des Champions a aussi été l'occasion de voir se croiser deux stars du ballon rond, Zlatan Ibrahimovic et Cristiano Ronaldo. Si le premier va vraisemblablement quitter le club de la capitale à la fin de cette saison, le second a de fortes chances d'intégrer l'effectif parisien l'été prochain. Nous republions cette analyse rédigée il y a deux ans car elle garde aujourd'hui toute sa pertinence eu égard aux efforts des dirigeants qataris pour recruter l'actuel ballon d'or.
La semaine qui vient de s’écouler a eu sa part de clasicos comme rarement le monde du football a pu en concentrer en si peu de temps.
En l’espace de quelques jours, deux doubles confrontations ont tenu en haleine les amoureux du ballon rond. D’abord, entre les mythiques clubs du Real Madrid et du FC Barcelone et, dans un registre moins relevé, entre le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille.
Qatar : passation de pouvoir aux dimensions régionales
Mardi 25 juin, l’émir du Qatar a annoncé la transmission du pouvoir au prince héritier, Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, lors d’une courte allocution télévisée de sept minutes à l’adresse de son peuple. Même s’il ne renouvelle pas les fondements du régime, l’acte n’est pas insignifiant : c'est à tout le moins la première fois qu'un monarque du Golfe cède le pouvoir de plein gré alors qu’il est encore en capacité de gouverner.
Comme pour Al-Jazira, le Mondial 2022 ou la visite à Gaza, Cheikh Hamad suscite ainsi l’attention et replace son pays au centre de l’intérêt médiatique planétaire. Sur le papier, le pari est réussi : le passage de relais à Doha confirme cette singularité du Qatar.Elle ne doit bien sûr pas être surévaluée : elle n'est qu'une transition politique apaisée à la tête d’une monarchie dynastique. Ni les fondamentaux du régime, ni les grandes orientations de la diplomatie du pays n'en sont affectés en profondeur.